Bonjour à tous et à toutes,
J'ai été agréablement surpris en cette période par le volontarisme et la motivation de certaines candidatures françaises à décrocher un emploi en Suisse.
Quand les profils demandés par les employeurs suisses sont introuvables, et bien on va les chercher ailleurs. Les employeurs (certains) sont tout à fait ouverts à recruter des potentiels à l'étranger (quant ils n'ont plus le choix ou quand l'adéquation entre l'offre et la demande semble parfaite).
Je citerai donc deux cas :
- le premier concerne un jeune dessinateur Pro-Engineer venant de Dijon (France) ayant fait un aller-retour en voiture dans la journée pour être audité par une prestigieuse entreprise de Lausanne dans le domaine de la bijouterie.
L'entretien s'est très bien passé : le futur employeur est très satisfait du savoir-faire (tests passés) et du savoir-être du candidat ; ce dernier est ravi.
- le second concerne un jeune ingénieur chef de projet spécialisé dans l'installation de matériel d'extinction (Sprinkler) ayant pris un billet d'avion pour rencontrer un employeur potentiel.
Moi je dis Bravo. Aide-toi, le ciel t'aidera.
jeudi, octobre 21, 2010
mardi, septembre 28, 2010
Les langues : toujours essentielles
Bonjour,
Là où l'on ne s'y attend pas du tout ou du moins pas trop, parler une langue étrangère devient malgré tout indispensable.
Prenons le cas désormais des électriciens de réseau, de haute tension, des chauffeurs, des mécaniciens, des machinistes.
Alors qu'à priori rien ne pouvait laisser présager cela, aujourd'hui ces professions requièrent la connaissance de la langue allemande en Suisse.
Beaucoup de candidats, alors qu'ils détenaient les compétences nécessaires pour une embauche immédiate ont été recalé en raison de leurs lacunes linguistiques.
Alors en fait, dans l'attente d'un emploi, pourquoi ne pas décider d'apprendre ne serait-ce que les bases d'une autre langue, à savoir l'allemand ?
Un français sur dix environ bredouille l'allemand. Puisque l'on sait qu'en Suisse, ce pays possède des potentiels d'entreprises de tous les cantons qui pourraient s'intéresser à vous, pourquoi laisser passer cette chance ?
Certaines sociétés de Suisse alémanique ont leur siège social là-bas, mais ont bel et bien des succursales en Suisse romande.
A méditer.....
Là où l'on ne s'y attend pas du tout ou du moins pas trop, parler une langue étrangère devient malgré tout indispensable.
Prenons le cas désormais des électriciens de réseau, de haute tension, des chauffeurs, des mécaniciens, des machinistes.
Alors qu'à priori rien ne pouvait laisser présager cela, aujourd'hui ces professions requièrent la connaissance de la langue allemande en Suisse.
Beaucoup de candidats, alors qu'ils détenaient les compétences nécessaires pour une embauche immédiate ont été recalé en raison de leurs lacunes linguistiques.
Alors en fait, dans l'attente d'un emploi, pourquoi ne pas décider d'apprendre ne serait-ce que les bases d'une autre langue, à savoir l'allemand ?
Un français sur dix environ bredouille l'allemand. Puisque l'on sait qu'en Suisse, ce pays possède des potentiels d'entreprises de tous les cantons qui pourraient s'intéresser à vous, pourquoi laisser passer cette chance ?
Certaines sociétés de Suisse alémanique ont leur siège social là-bas, mais ont bel et bien des succursales en Suisse romande.
A méditer.....
mardi, juin 08, 2010
Nouvelle vague de demandeurs d'emploi : les Espagnols = un exemple de comportement
Bonjour tout le monde,
J'espère qu'en cette période, chacun d'entre vous qui recherchez un emploi, s'y consacre de manière très sérieuse, car la concurrence est rude.
Dans le canton de Vaud, alors que l'on assistait (pour ma part) à une vague 2009 d'immigrations venant du Portugal sinistré par la crise, voilà qu'à ce jour, l'Espagne tente sa chance (6 millions de chômeurs officiels !!)
Chaque jour se présentent dans mon agence de placement de personnel des candidat(e)s ibériques.
Personnes volontaires, prêtes à repartir au bas de l'échelle, l'ego dans la poche. Ca fait réfléchir. Elles sont décidées à s'intégrer.
Ce qui m'a frappé dans leur comportement, c'est leur motivation à prouver qu'ils VEULENT s'intégrer à tout prix. Ils s'intéressent d'abord à leur futur emploi (et employeur), questionnent, sont coopératifs, se donnent les moyens.
Je ne citerais pas la nationalité de ceux qui avant tout dialogue demandent :
- "C'est payé combien ?"
- "C'est pour combien de temps ? "
Et voilà, en Suisse, on veut des gens motivés avant tout, qui se sentent concernés par leur travail.
"Fermer le poing dans sa poche" est aussi une manière humble de se remettre en question.
Après tout, personne n'a obligé personne à venir travailler en Suisse...........alors le beurre, l'argent du beurre et la crémière avec.............faut oublier.
Il est bon de s'assumer avant de vouloir "casser la baraque" :-)
J'espère qu'en cette période, chacun d'entre vous qui recherchez un emploi, s'y consacre de manière très sérieuse, car la concurrence est rude.
Dans le canton de Vaud, alors que l'on assistait (pour ma part) à une vague 2009 d'immigrations venant du Portugal sinistré par la crise, voilà qu'à ce jour, l'Espagne tente sa chance (6 millions de chômeurs officiels !!)
Chaque jour se présentent dans mon agence de placement de personnel des candidat(e)s ibériques.
Personnes volontaires, prêtes à repartir au bas de l'échelle, l'ego dans la poche. Ca fait réfléchir. Elles sont décidées à s'intégrer.
Ce qui m'a frappé dans leur comportement, c'est leur motivation à prouver qu'ils VEULENT s'intégrer à tout prix. Ils s'intéressent d'abord à leur futur emploi (et employeur), questionnent, sont coopératifs, se donnent les moyens.
Je ne citerais pas la nationalité de ceux qui avant tout dialogue demandent :
- "C'est payé combien ?"
- "C'est pour combien de temps ? "
Et voilà, en Suisse, on veut des gens motivés avant tout, qui se sentent concernés par leur travail.
"Fermer le poing dans sa poche" est aussi une manière humble de se remettre en question.
Après tout, personne n'a obligé personne à venir travailler en Suisse...........alors le beurre, l'argent du beurre et la crémière avec.............faut oublier.
Il est bon de s'assumer avant de vouloir "casser la baraque" :-)
mercredi, avril 21, 2010
Mécaniciens de machines agricoles ou d'engins de terrassement : où êtes-vous ?
Bonjour à tous et à toutes,
Le secteur de la construction et dérivés (entreprises de matériel de terrassement par exemple) tient quand même la forme en Suisse.
Certaines entreprises (Liebherr, Caterpillar) ont beaucoup de mal à recruter des mécaniciens spécialisés dans les engins de terrassement ou des automaticiens spécialisés dans les grues à tour.
Qui plus est, parler allemand s'avère quelque fois nécessaire.
Alors, si par chance, vous possédez une formation de mécanicien dans ce domaine complétée par une expérience de deux à trois ans, alors je vous promets un bel avenir en Suisse.
Cordialement à tous et à toutes.
Franz
Le secteur de la construction et dérivés (entreprises de matériel de terrassement par exemple) tient quand même la forme en Suisse.
Certaines entreprises (Liebherr, Caterpillar) ont beaucoup de mal à recruter des mécaniciens spécialisés dans les engins de terrassement ou des automaticiens spécialisés dans les grues à tour.
Qui plus est, parler allemand s'avère quelque fois nécessaire.
Alors, si par chance, vous possédez une formation de mécanicien dans ce domaine complétée par une expérience de deux à trois ans, alors je vous promets un bel avenir en Suisse.
Cordialement à tous et à toutes.
Franz
jeudi, mars 18, 2010
Je veux m'établir en Suisse et y travailler : que dit la loi ?
Bonjour à tous et à toutes,
Depuis 2008, j'observe une tendance qui s'accroît nettement en matière de méthode de recherche d'emploi en Suisse. Tout est fait pour réussir à trouver un job et mettre les chances de son côté. Tout est fait pour trouver sa place.
Depuis toujours les frontaliers (français et allemands) recherchant et trouvant un emploi en Suisse réintègrent logiquement après le travail leur domicile en zone frontalière.
Aujourd'hui, certains profils demandent des exigences de proximité. Qu`à cela ne tienne !
On lâche son domicile en France ou ailleurs pour s'expatrier en Suisse : je veux m'établir en Suisse.
Au fait, que dit la loi en matière d'établissement ?
L'Office fédéral des migrations nous dit ceci :
"Depuis le 1er juin 2004, les ressortissants de l’UE-17/AELE et les travailleurs détachés en Suisse par des entreprises dont le siège se trouve dans un Etat membre de l’UE-17/AELE n’ont plus besoin d’autorisation pour séjourner en Suisse en vue d'y exercer une activité lucrative d'une durée inférieure à 90 jours. Une déclaration d'annonce doit être remplie. Les ressortissants de l'UE-8 (Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, République tchèque, Slovaquie et Slovénie), de même que les Bulgares et les Roumains bénéficient également de cette réglementation dans certaines situations."
Ou encore :
"Quiconque travaille pendant son séjour ou séjourne plus de trois mois en Suisse doit être en possession d’une autorisation. Celle-ci est délivrée par les offices cantonaux chargés des questions de migration. Il existe trois types d’autorisation: l’autorisation de courte durée (moins d’un an), l’autorisation de séjour (de durée limitée) et l’autorisation d’établissement (de durée indéterminée)."
Voilà, maintenant vous le savez.
Cordialement à tous et à toutes.
Franz Montagnon
Depuis 2008, j'observe une tendance qui s'accroît nettement en matière de méthode de recherche d'emploi en Suisse. Tout est fait pour réussir à trouver un job et mettre les chances de son côté. Tout est fait pour trouver sa place.
Depuis toujours les frontaliers (français et allemands) recherchant et trouvant un emploi en Suisse réintègrent logiquement après le travail leur domicile en zone frontalière.
Aujourd'hui, certains profils demandent des exigences de proximité. Qu`à cela ne tienne !
On lâche son domicile en France ou ailleurs pour s'expatrier en Suisse : je veux m'établir en Suisse.
Au fait, que dit la loi en matière d'établissement ?
L'Office fédéral des migrations nous dit ceci :
"Depuis le 1er juin 2004, les ressortissants de l’UE-17/AELE et les travailleurs détachés en Suisse par des entreprises dont le siège se trouve dans un Etat membre de l’UE-17/AELE n’ont plus besoin d’autorisation pour séjourner en Suisse en vue d'y exercer une activité lucrative d'une durée inférieure à 90 jours. Une déclaration d'annonce doit être remplie. Les ressortissants de l'UE-8 (Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, République tchèque, Slovaquie et Slovénie), de même que les Bulgares et les Roumains bénéficient également de cette réglementation dans certaines situations."
Ou encore :
"Quiconque travaille pendant son séjour ou séjourne plus de trois mois en Suisse doit être en possession d’une autorisation. Celle-ci est délivrée par les offices cantonaux chargés des questions de migration. Il existe trois types d’autorisation: l’autorisation de courte durée (moins d’un an), l’autorisation de séjour (de durée limitée) et l’autorisation d’établissement (de durée indéterminée)."
Voilà, maintenant vous le savez.
Cordialement à tous et à toutes.
Franz Montagnon
mardi, mars 02, 2010
Métiers du bâtiment: au mois de mars postulez !!
Bonjour à tous et à toutes,
Traditionnellement, quand on postule dans les métiers de la construction en Suisse, les mois de janvier et de février ne sont pas propices.
En mars c'est le moment !!!!!!
Tout profil venant du génie civil, gros-oeuvre et second-oeuvre est le bienvenu.
- ingénieurs en génie civil
- dessinateurs en génie civil avec Autocad
- maçons-coffreurs
- maçons en finition
- grutiers à tour
- serruriers-constructeurs
- ferblantiers
- couvreurs
- Techniciens en fibre optique
Tous les postes s'entendent ausssi bien au masculin qu'au féminin.
Alors postulez !
Traditionnellement, quand on postule dans les métiers de la construction en Suisse, les mois de janvier et de février ne sont pas propices.
En mars c'est le moment !!!!!!
Tout profil venant du génie civil, gros-oeuvre et second-oeuvre est le bienvenu.
- ingénieurs en génie civil
- dessinateurs en génie civil avec Autocad
- maçons-coffreurs
- maçons en finition
- grutiers à tour
- serruriers-constructeurs
- ferblantiers
- couvreurs
- Techniciens en fibre optique
Tous les postes s'entendent ausssi bien au masculin qu'au féminin.
Alors postulez !
jeudi, janvier 21, 2010
Les Suisses aiment-ils les Français ?
Même si les propos que j'ai tenus semblent laisser deviner le contraire, je pense sincèrement que oui.
Je connais moulte Suisses qui adorent la France et s'en délectent chaque année.
Il s'agit plutôt d'une attitude française de comportement dont les Suisses connaissent bien le refrain.
Le français est professionnellement très compétent. C'est un fonceur. Un peu trop parfois. Mais en Suisse, il y a des méthodes de travail spécifiques, les connaissances professionnelles sont différentes, l'approche pro est différente, la qualification pro l'est aussi.
Pour l'exemple, ce n'est parce que l'on est installateur sanitaire en France qu'on le sera en Suisse. Et non !!!! Sans expérience préalable, c'est un peu difficile ! Vous me direz qu'il faut bien commencer...........:-)
C'est une question d'état d'esprit.
Relisez "Astérix et les Gaulois" "" !!!
Je connais moulte Suisses qui adorent la France et s'en délectent chaque année.
Il s'agit plutôt d'une attitude française de comportement dont les Suisses connaissent bien le refrain.
Le français est professionnellement très compétent. C'est un fonceur. Un peu trop parfois. Mais en Suisse, il y a des méthodes de travail spécifiques, les connaissances professionnelles sont différentes, l'approche pro est différente, la qualification pro l'est aussi.
Pour l'exemple, ce n'est parce que l'on est installateur sanitaire en France qu'on le sera en Suisse. Et non !!!! Sans expérience préalable, c'est un peu difficile ! Vous me direz qu'il faut bien commencer...........:-)
C'est une question d'état d'esprit.
Relisez "Astérix et les Gaulois" "" !!!
Les mentalités
Dans la rubrique "allez-y postulez ! " (commentaires), Damien pose la question des mentalités.
En effet elles sont différentes selon les cantons. Je ne parlerai que des cantons dans lesquels j'ai travaillé.
Arrivant de la région parisienne (il y a fort longtemps), j'ai pour ma part commencé à travailler dans le Valais.
L'accueil a toujours été poli, courtois voire plus. La mentalité d'un français, qui plus est de la région parisienne, face à celle du valaisan; c'est un peu le rouleau compresseur. Mais le valaisan reste courtois face aux assauts et n'en pense pas moins.
Le valaisan
Il est méfiant au départ : apprendre à aimer un valaisan, c'est apprendre et adhérer d'abord à ses coutumes. Quand vous commencez à boire "un coup de blanc" avec lui, c'est qu'il vous intègre. Vous devez gagner sa confiance et il ne faut pas le brusquer. C'est un ami fidèle.
Le Genevois
C'est l'anti-valaisan par excellence. D'ailleurs certains Genevois traitent les valaisans de paysans et ces derniers traitent les Genevois de "m'as-tu vu". De part sa proximité avec la zone frontalière française, le Genevois a la mentalité du "rentre dedans" français. Dans le business, ça va plus vite. C'est plus ou moins " oui ou merde".
Le Vaudois
Hyper accueillant et vous pouvez vous faire de vrais potes et amis. En vrai français que vous êtes, il vous renifle à cent mètres. Ne la lui faites pas, il connait la musique.
Le neuchâtelois
Réputé pour être cool, souriant,super sympathique et accueillant. Toujours prêt à filer un coup de main entre potes.
Le jurassien
A la tête dure, on pourrait le comparer à un breton. Hyper accueillant, vous invite à manger sans retenue même si vous n'êtes que de passage. On se sent vraiment à l'aise.
Le bâlois
Bâle, ville bilingue français/allemand par excellence. Le bâlois est très attentif et prévenant.
En effet elles sont différentes selon les cantons. Je ne parlerai que des cantons dans lesquels j'ai travaillé.
Arrivant de la région parisienne (il y a fort longtemps), j'ai pour ma part commencé à travailler dans le Valais.
L'accueil a toujours été poli, courtois voire plus. La mentalité d'un français, qui plus est de la région parisienne, face à celle du valaisan; c'est un peu le rouleau compresseur. Mais le valaisan reste courtois face aux assauts et n'en pense pas moins.
Le valaisan
Il est méfiant au départ : apprendre à aimer un valaisan, c'est apprendre et adhérer d'abord à ses coutumes. Quand vous commencez à boire "un coup de blanc" avec lui, c'est qu'il vous intègre. Vous devez gagner sa confiance et il ne faut pas le brusquer. C'est un ami fidèle.
Le Genevois
C'est l'anti-valaisan par excellence. D'ailleurs certains Genevois traitent les valaisans de paysans et ces derniers traitent les Genevois de "m'as-tu vu". De part sa proximité avec la zone frontalière française, le Genevois a la mentalité du "rentre dedans" français. Dans le business, ça va plus vite. C'est plus ou moins " oui ou merde".
Le Vaudois
Hyper accueillant et vous pouvez vous faire de vrais potes et amis. En vrai français que vous êtes, il vous renifle à cent mètres. Ne la lui faites pas, il connait la musique.
Le neuchâtelois
Réputé pour être cool, souriant,super sympathique et accueillant. Toujours prêt à filer un coup de main entre potes.
Le jurassien
A la tête dure, on pourrait le comparer à un breton. Hyper accueillant, vous invite à manger sans retenue même si vous n'êtes que de passage. On se sent vraiment à l'aise.
Le bâlois
Bâle, ville bilingue français/allemand par excellence. Le bâlois est très attentif et prévenant.
lundi, janvier 18, 2010
Allez-y : postulez
Bonjour à tous et à toutes,
Les festivités sont loin, l'année 2010 débute et on fonce ! :-)
On fonce à la recherche d'un emploi.
Pour commencer, on s'inscrit à ce site dont voici le lien ci-dessous :
http://www.frontalier.org/
Je viendrais y chercher vos C.V.
Ensuite on achète le fameux livre "décrocher un emploi en Suisse" de David Talerman
http://blog.travailler-en-suisse.ch/
Et après on fonce...........tout en douceur :-))
Cordialement,
Franz
Les festivités sont loin, l'année 2010 débute et on fonce ! :-)
On fonce à la recherche d'un emploi.
Pour commencer, on s'inscrit à ce site dont voici le lien ci-dessous :
http://www.frontalier.org/
Je viendrais y chercher vos C.V.
Ensuite on achète le fameux livre "décrocher un emploi en Suisse" de David Talerman
http://blog.travailler-en-suisse.ch/
Et après on fonce...........tout en douceur :-))
Cordialement,
Franz
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