Eh oui !
Que vous le vouliez ou non, bon nombre d'entre vous ont le "bluz" au bout de 3 - 4 mois d'activité en Suisse !
Croyez-moi : je suis dans le vrai !
Cela s'appellera aussi la "déprime", le "pète-les-plombs" du Frouze. (pardon pour le frontalier, mais c'est votre sobriquet !).
Au début, vous êtes tous joyeux de venir travailler en Suisse. Vous vous conformez aux directives (certains non). Compte tenu des dispositions bilatérales, vous pouvez exercer pendant 90 jours une activité professionnelle sans l'obtention d'un permis de travail pour autant que vous remplissiez les conditions juridiques. (Cf ma rubrique "qui peut exercer (...)?).
Tout d'un coup, on est en retard au travail, on ne prévient pas de son absence, on chipote pour son salaire (pour votre info, dans le secteur du bâtiment, second-oeuvre, certaines professions gagnent 2 fois et demi plus que le salaire français). Le "toujours plus de François de Closet" en somme. Le beurre et l'argent du beurre...
Mais si vous résonnez intelligemment : il vaut mieux "un tu l'as que deux tu l'auras". En conséquence, les entreprises suisses ne vous ont pas forcées à venir travailler chez elles. Vous avez fait la démarche de venir. Alors, restez humbles et vous pourrez faire carrière !
">Lien http://www.anpe.fr/
jeudi, novembre 16, 2006
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